MERDE

14 mars 2008

Parce qu'ici peut être, les ventres n'exploserons pas et. Putain ça va, ça va je vous jure. Pourtant là j'ai de drôles stimuli qui titillent mon nerf optique, ou j'sais pas quoi en clair, j'ai envie de chialer. Ouai chialer, c'est pas la grande classe je sais, surtout que mon mascara va sans doute couler, et ça me rendra beaucoup moins sexe que dans les films alors. Mais ça ne sort pas et puis t'façon, à quoi bon hein ? Mais merde. Je ne suis qu'une gosse et je n'prétends même pas à plus. Qu'un peu de réconfort et si tu me touches j’te tue. Ça va venir, si si je le sens, ça brûle putain et ça ne coule pas, "alors à quoi tu sers crétin ?" J'en crève de trop gueuler en silence, je me casse la voix dans le froid qui vire au printemps. Des teufs et puis quoi ? Je suis celle d'à côté que même un tigre ne voudrait pas de moi, ou juste fêlée de l'intérieur l'extérieur ça fait longtemps qu'il prend l'eau tu vois, des fissures et l'armure est bonne à jeter. Et toi ? Je ne vous écrirais pas, et pas parce que je vous oublis, ce serait trop facile parce que dans mes retranchements il y a des bouquins par centaines et de la glace à la vanille. Mais pas l'ombre d'un chat. Par contre cette pauvre conne elle y va dans mes enceintes, et vas y que je fais vibrer ma voix rauque sur de langoureux accords de guitare faudrait pas dire que c'est elle qui. "Mais rien putain laisse moi papa tu me soules". Je t'aime jamais plus parce que pas encore accrochée à la lune au point de croire en la beauté. Les gestes se font inutiles pourquoi ici ça n’arrête pas de taper. Stop le bruit dans ma tête, tu me prends dans tes bras dis ? Ou alors c’est Olympio qui m’emmène avec lui. Sur ce, bye.

Oui il y en a encore à cracher, toujours et même que l’infini par définition, ça ne s’arrête pas à la ligne rouge, blanche et tout ce que l’on veut du carrefour. Mais tu vois les larmes elles ont crevé avant même de naître au coin de mes yeux alors les mots. En fin.

Ha ha je crois que je perds la boule dans l’évier elle tourne elle tourne autour du vide avant de glisser dans le siphon. «Ça pue l’amour» comme il dit lui qui plane comme un cygne d’un ballet nacré, danse intouchable toujours. Y a la brune qui court à corps et à cris après la passion. Et merde tout le reste quoi. Pourquoi je vous parlais de ça déjà ?
Ah oui deux choses, l'injustice et l'incompréhension. Sinon le soleil c'est cool aussi. Toujours pas de clopes ni de mecs dans mon lit, vous l'aurez compris. Alone comme d'hab mais c'est volontaire et totalement pas assumé. Un élément cyclique, transparent presque et juste ensoleillé comme il faut. Pas le ciel bleu non. Juste l'ivresse de. Bref. T'façon je crois que comme ma voisine le dit si bien. Merde. Non non ça c'est moi, en tout cas elle dit juste et ça manque à certains. Ou alors c'est juste moi qui pète un câble sous les nuages bleu foncé, chargés d'électricité.

En gros je m'en bats les reins.

Sinon moi, je suis trop fan de l'Atelier...
Surtout du Klub des loosers, et de..
Svinkels aaaaaaaah !!! (groupie)
Et même que rien à voir mais on m'a dit que j'étais charmante :
Comme un tracteur
Une fleur
Ta soeur
Un moteur
L'facteur
Une chienne en chaleur.
Entourez la bonne réponse.