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Le coeur au bord de l'implosion

15 juin 2008

" - I love you, Pumpkin. - I love you too,

" - I love you, Pumpkin.
   - I love you too, Honey Bunny.

- Alright, everybody be cool this is a robbery !

- Any of you fucking pricks move, and I'll execute every motherfucking last one of you ! " 

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8 juin 2008

"Peut-être qu'il n'y a que ça qui compte,

"Peut-être qu'il n'y a que ça qui compte,
peut-être qu'il suffit de trouver quelqu'un à apprivoiser."

FIN

12 mai 2008

Mode niaisouse.

Oui,

J'ai envie d'être aimée.






Mon portable il a vibré tout seul, nananère.
Et même que c'était écrit Pierre heu !


9 mai 2008

Et ils tournent et ils dansent, comme des soleils

Et ils tournent et ils dansent, comme des soleils crachés

Alors que sur ma tête, se déposent tes flocons

Tombe
la neige
Et mon cœur s'habille de noir
Ce soyeux cortège
Tout en larmes blanches

L'oiseau sur la branche
Pleure le sortilège

Parce que peut être qu'il fallait ça pour que j'oublie ma fierté,
Mon opinion, tranchée
Déchirée et aveugle du reflet des mots
Et des faux semblants, des erreurs d'antan.

J'ai eu peur.
J'ai eu vide,
Et seule, je me suis assise sous le marronnier en fleur
Balayé par le vent

Je suis restée là longtemps, abrutie, à penser à toi
Ne pouvant croire que tu n’pourrais plus être là.

Aux petits chignons et aux couettes
Au car n°12, à ces matins brumeux
A ta beauté et ta douceur, ma Jolie
Je t’aime.

9 mai 2008

Always, lost in the sea

Je me rempli de l'eau brûlante, glissante comme une huile sur mes muscles endoloris. Je me coule contre le bord, la tête floue et l'esprit.. Ralenti.
Vide de doutes, rien n’est clair puisque je ne vois rien. Le noir caresse ma tête lourde.
L'absence de regrets ou de remords m’aurait surprise, si j'avais encore les yeux ouverts. Mais.

La station de radio fixée au hasard, pas trop fort car les basses résonnent encore à mes oreilles.
Et je coule sur Yann Tiersen.
Les papillons de l'eau se tordent avec les vagues pour aller chatouiller mon ventre. Mon sourire flotte et mon coeur, ramollit dans l'eau chaude.


Et puis Noir Désir, les bruits sourds remontent à la surface. Une bouche souriant démesurément dans l’obscurité, et des mains qui serrent plus que de raison pour une première rencontre. Des mains qui accrochent et retiennent, qui s’approprient mes propres certitudes.

Alors je baisse ma garde, et ce n'est pas par tendresse.

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7 mai 2008

Gorgée et étourdie de plaisir. Le sourire

Gorgée et étourdie de plaisir. Le sourire flottant et le regard flou. Se cogner aux angles en leur demandant pardon. (...)
Et puis la claque, la pointe glacée juste là, dans le recoin fragile pour un instant trop exposé.
Et quelques mots ça donne une situation pathétique. Genre un chanteur dont je tairais le nom, pour sauver ma dignité, des vieilles cassettes, du crayon noir sans miroir. La faiblesse qui se partage la scène avec une étrange rage. De vivre.

Alors on fera péter les thunes ce soir, au resto, et l'alcool coulera à flot !

Il faut que je parte.
Je vais tout perdre pour y gagner.


Juste un caillou dans ma chaussure.


3 mai 2008

Drôle de journée. Au sens comique du terme.Encore

Drôle de journée. Au sens comique du terme.
Encore un peu
Instable.

J'mange vraiment n'importe quoi. (Pour ma recette de petits pois fromage tomates.. contactez moi par mail)

Et après la peur. Le noir.
Le cagnard.
J'appellerais bien l'crétin. Mais il doit faire cramer sa moumoute au soleil.
Yeah cette blague est pour toi public. TMTC !

Abrutie par mes cours d'éco une insolation, je divague.

" VAGUE "

Edit 21h10

J'ai laissé un commentaire masqué sur un blog de gamine friquée pseudo rockeuse parisienne. C'était jouissif.

J'ai posé en sous vêtements sur ma pelouse en espérant secrètement choquer les paysans sur leur tracteur.

Je soupçonne fortement Rennais d'avoir depuis peu une salope officielle dans son lit copine. Ceci explique cela. J'ai fermé ma gueule. Et je n’insisterais pas.

L'autre grand, Cousin tout ça, est parfaitement ailleurs. Genre totalement pas réceptif à mes signaux de fumée. Alors que j'étais chez lui vendredi.

Les lettres de refus des employeurs sont très drôles, j'entame leur collection. La palme d'or revient à Super U qui m'explique ligne par ligne pourquoi il ne pourra pas me prendre, tout ça sur un ton vraiment désolé qui ferait pleurer un cactus.

Djé fait le mort. M'oubli. Vis sa vie. C'est cool mais humiliant.

Max m'a envoyé un message ! Bourré, et bourré de sous entendus. En référence à un certain message vieux vieux vieux de moi qui l'avait laissé sans réponse. J'ai joué le jeu. Lui aussi. Et puis voilà. 723,48 km nous séparent.

J'ai scanné la photo de Mayeu paru dans le Ouest France de je ne sais plus quel jour. Mais elle ne passe pas sur canalblog. Le pseudo de Marianne m'a trompé, j'ai cru que c'était lui. J'ai frémi.


.

Cet article s'auto détruira à la mort de : Saturday night fever !
Ou pas.

30 avril 2008

Pas enceinte.Hormones toujours en folie.Retourne

Pas enceinte.
Hormones toujours en folie.
Retourne chez papa seulement jusqu'à juillet. Inch'Allah.

La tempête gonfle.

Seule et surtout..
Très conne
.

Edit 2/05

Les jointures crispées
Blanches
Prêtes à lâcher.
L'eau s'infiltre dans les joints
La pression gonfle le plastique, et le distend jusqu'à la déchirure
Une seule inspiration
Et tout implose.

27 avril 2008

Juke box dans un camion

Le visage tout gonflé. Le nez et les pommettes rouges. Les lèvres douloureuses. Les pieds en feu. Les yeux collés. Le sourire triste. Elle est partie.
L'énumération fastidieuse, trop peu pour moi, elle sait aussi bien que moi que. Didoudidoudi...
Socalled quand même, et puis demain c'est la rentrée, mais moi je m'en fous je suis heureuse. Heureuse. Même bien plus, mais chut. Pt'être pour pas longtemps, mais ces trois jours valent bien 6 mois de grisaille, à l'attendre en me rongeant les sangs. En me cassant les dents, sur du bois trop dur. Sur des vieux murs. Des armures. « Toi, jamais»…
Parce que j'allais fuir comme les petits vieux, de rire tellement c’est "énooooorme", on est des prisonnières de guerres en Afghanistan, des pécheurs du dimanche, des buveurs bretons, des musiciennes de variété, des gosses de 8 ans à nous deux, deux femmes sexy qui comparent leur cacahuète.. Ah ah.

Excuse Manon j'arrête là y a trop de dossier.
J'ai la musique à fond dans l'appart. Le ciel est gorgé d'orage. Il va pleuvoir.
J'ai envie de pleurer.

T'es partie.

Didoudi doudi..
Et si tu sors les photos d’hier soir de leur placard, je te f’rais bouffer le tee shirt de Thibaud. Niark niark.

Ce n'est pas ta préferée. Mais notre hymne n'était pas dispo.
Pardon. Jle f'rais plus. Promis.

Et je ne sais pas si tu sais, à quel point je. T’aime point. Final.

23 avril 2008

Dites moi, pourquoi c'est toujours APRES avoir

Dites moi, pourquoi c'est toujours APRES avoir imprimé les trente CV couleurs qu'on se rend compte qu'on a tout bêtement oublié de corriger une phrase. Ah ah, problématique. C'est pas grave on recommence.
Sinon ma demoiselle tant attendue arrive demain, celle qui vient de Loin. Et demain c'est encore trop loin, aussi. Vivement, putain, vivement. Je jubile. Parce le bleu s’impose même si je n’aime pas ça. Qu’elle sera là pour compter mes sourires, qu’elle parlera, qu’elle me parlera. Et on va bouger tout ça tout ça.
Ouai je n’ai plus de mots au bout des doigts. Je passe mes 8h30/21h à scotcher. Et à jouer au solitaire. Je dors, je mange, des céréales et des pâtes deux fois par jours avec papa, ou alors de la soupe verdâtre dégueulasse. Même qu’on dirait la mare de derrière la clôture.
Hier une séance de méditation aux derniers rayons de soleil, la tête en arrière et les symphonies des oiseaux. J'ai décollé.
J'ai oublié pourquoi les jours et la nuit ? Juin et août.

J'vais faire un tour, c'est ma dernière journée ici. Il n’est pas là.
Je reviendrais quand le sable crissera mes jointures et les diamants illumineront ma peau et la poussière sous les doigts (…) Jamais quoi. Ou avant. Y a longtemps.

Je veux un polaroïd. SX 70. Avec un énorme carton de films 600.
Et me percer. Vite la tempe, la poitrine, refaire mon labret, mettre un anneau. Aiguilles là maintenant tout de suite.
Tire sur le piston pour voir la goutte rouge envahir l’espace.
Juste savoir.
Et si c’est le cas, lui crever les yeux.

Je l'aime Mon traitre. Parce que l'Irlande. Et le combat.
L'Irlande ?
Belfast.

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