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Ecrire ces mails, putain !
Et pas ces putains de mails.
C'est pas les mots qui manquent dans ma tête ils font la ronde, ici ça peu encore aller, presque. Mais dès que l'adresse est révélée. Boum, découragée.
Il y avait ça et. Ah ha. Symétriques tu vois, la diagonale de ma soirée de merde, non même pas je ne me reconnais pas là-dessus mais ton sourire qui se casse la gueule à fait naître chez moi un optimisme qui résiste à toutes épreuves. Ce qui donne dans l’ensemble une soirée humide, et malmenée dans une caisse rouge qui n’a plus de poignées. Le vent glacial qui me siffle aux oreilles, me coupent l’ouie pour une bonne heure, l’alcool qui, ses yeux vides et moi qui saute d’une jambe sur l’autre, le son qui décolle pas et «n’y allez pas le son est pourri ! ». Les flics et Ana grognon, l’autre jolie *saperlipopette*. Je ne peux plus continuer.
Cet article ne sert à rien, je comprends mieux pourquoi elle se cache pas envie de dire le vrai, le beau le laid.
Mais en conclusion, le mannequin au tee shirt rose, par-dessus sa chemise blanche, celui qui conduit la même Safrane que Roro, qui mange des Fisherman’s friend cinq par cinq pour les alcooltests alors qu’il a des yeux de poissons. Lui justement, comme David-du-Floride, m’a sauvé ma soirée « c’est à moi de passer sur le divan du psy » alors que c’est la claque dans la gueule, deux petites minettes qui lui renvoient trop de chose en tête alors, il parle il coupe monte le son et grogne par-dessus, parle à son bras gauche et tourne légèrement la tête pour embrasser. Coupé.
Je n’arrive jamais à me taire à temps, et à parler au bon moment.
J’ai tout raté.
Edit 22/03 à 21h38. Peut être que c'était faux. Mais au moins j'apprends. Toi tu n'sais que cracher. 6 jours plus tard j'avais réussi à écrire le premier mail. On dit bravo qui ?
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