À vie de tempête
Aussi changeante que le temps.
Beaucoup de rencontres, de courses folles dans les dunes de mots alignés dans ma tête. Tempête qui divague et fout en l'air ces constructions précaires. Très seule.
Pas mal heureuse.
Egoïste. Seule. Amoureuse du vent et de la pluie sur mon velux. Je n’ai pas envie d'en dire plus, de peur de donner vie au monstre tapis sous le lit, et l'enfant dans le miroir les yeux noirs.
Pourtant des histoires d'amies, de mains qui se serrent, de son qui fait péter les tympans et de basses qui étouffent le coeur. De "tête qui éclate". Chanter toujours plus haut.
Manger, manger et manger.
Dans le futile il y a l'absence de clopes, l'argent qui file entre les doigts aux ongles rouges, la beauté de leurs rires la magie des rencontres la déception et la solitude, le déménagement qui approche, la peur de l'avenir, la nostalgie, le soleil et la tempête, la famille et.
L'amour Noir désir aussi.
Finalement dans les ailes insignifiantes des papillons de nuit se cachent pas mal de mes travers, virages et couloirs.
Dit en passant : Stéphanie, les mots sont là, pas loin de ma bouche et de mes doigts, dans ma tête très très forts, ils arrivent bientôt en attendant mes pensées ne te quittent pas. Étrange.